
Mon cerveau maintenue a broil, spin sur lui même jusqu'à ce que les mots s'engloutisse dans la brume de leur propre ombre... une ombre projetée par la compréhension qui se fait attendre.
Les mots se collent à ma moelle épinière me faisant frissonner de tout mon système nerveux.
Les mots sont le flot sur lequel vogue l'embarcation de mon élocution.
Les idées viennent dans ma bouches comme des poèmes de tâches sur le coeur qui éclaboussent sur les murs de ta demeure.
C'est obscène c'est choquant.
Tes yeux parlent tout seul dans un monologue de pupilles, un dialogue télépathique.
L'encre sur mon papier, le soulagement de la concrétisation.
À moins que jme fais des illusions.
Mes mots ne sont que de passage,
une trame de fond, un plan d'évacuation.
La sortie de secours en dernier recours.
Les idées viennent dans ma bouches comme des poèmes de tâches sur le coeur qui éclaboussent sur les murs de ta demeure.
C'est obscène c'est choquant.
Tes yeux parlent tout seul dans un monologue de pupilles, dialogue télépathique.
j'anticipais pas l'inspiration, elle tombe en coup de foudre.
Elle fait mal à te vouloir du bien.
Elle te fais hair de pas savoir l'aimer.
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